Communiqué – Pacte budgétaire européen : Les opposants socialistes et Pascal Cherki courent après l’extrême gauche alors que la France est en mal d’Europe

Paris, le 3 octobre 2012 – La France est entrée dans la phase de ratification du pacte budgétaire européen, seul filet de sécurité pour la France et l’Europe dans cette crise inégalée.

 

En cette période cruciale pour le devenir de la France dans l’Union Européenne, des élus socialistes tergiversent devant les prétendus « risques » encourus par la France en cas de ratification de la fameuse « règle d’or » budgétaire. Parmi eux, Pascal Cherki, nouveau député-maire du 14ème arrondissement à Paris. Il retrouve le chemin de l’illusoire « plan B » fabiusien. Il votera NON au Traité et OUI à la loi d’application. Quelle cohérence !

Pour se justifier, Pascal Cherki élabore les scenarii les plus sombres : récession, hausse du chômage, perte de croissance et de souveraineté…Des arguments que justement l’électorat d’extrême gauche, tant convoité par les socialistes, veut entendre alors que l’Europe est la solution.

Les Français le savent. En subissant chaque jour les vaines promesses présidentielles et la douloureuse hausse de la fiscalité, nos compatriotes sont confrontés au « principe de réalité », manifestation criante d’un « besoin d’Europe ». Mais, bien entendu, il est plus commode pour M. Cherki et ses amis de dénoncer un traité européen salvateur que nous devons, en plus, horreur suprême, au talent de négociation du prédécesseur à l’Elysée.

L’Europe n’a pas besoin aujourd’hui d’une nouvelle crise institutionnelle mais, au contraire, d’un nouveau souffle vers une plus forte intégration dont l’adoption de ce traité est une étape indispensable.

Aujourd’hui, la France n’a pas besoin de moins d’Europe mais au contraire de plus d’Europe. Plus que jamais l’avenir de la France est européen !